[...]on croit parfois plaire à l'une d'elles alors que ce n'est pas le cas, tandis qu'on ne remarque même pas qu'on plaît à d'autres, gagnées dans ces moments-là par la timidité.
J'aimerais bien avoir aussi un avis féminin. Parce que j'ai raconté cette petite péripétie à plusieurs de mes amis garçons et nous sommes tous aussi perdus. Peut-être qu'une fille pourrait voir les choses d'une autre manière...
25 ans et t'as pas envie d'en changer, c'est rare et c'est beau ça, Borg !
Comment pouvez-vous être sûrs que c'est mort avec une femme ? J'ai déjà été surpris de découvrir qu'une fille à laquelle je pensais plaire n'était pas intéressée (la mésaventure de Federentieva m'est arrivée au moins deux fois). Au contraire, j'ai souvent appris qu'une fille qui ne semblait pas du tout intéressée posait un tas de questions sur moi dans mon dos et n'espérait qu'une chose : que je fasse un pas vers elle.
En fin de compte, les filles sont enfermées dans une certaine passivité (il y a des exceptions, heureusement), ce qui explique peut-être qu'on croit parfois plaire à l'une d'elles alors que ce n'est pas le cas, tandis qu'on ne remarque même pas qu'on plaît à d'autres, gagnées dans ces moments-là par la timidité.
Merci MP pour m'avoir fait découvrir cette jolie voix ;)
Quant à la question, je vais parler au passé car je suis avec ma femme depuis 25 ans bientôt et n'ai aucune envie de changer :)
J'étais plutôt discret sur mes sentiments, je ne déballais pas tout... Mais je ne gardais pas tout non-plus, disons que j'essayais de montrer mon attirance de façon subtile mais pas trop m'avancer sur l'étendu de mes sentiments, ça peut faire peur... Après, quand "je concluais" (comme dirait JC ^^) j'étais plus explicite sur ceux-ci.
Voilà pour la tendance générale mais comme Oryx le dit je tenais compte aussi de la fille concernée. Si je sentais une réciprocité j'étais un peu plus entreprenant que si j'étais sûr de rien ! Et si j'étais sûr que non, c'est mort, je tentais rien du tout, courageux mais pas téméraire :D
Intéressant oui..mais cela aurait pu être toi qui n étais pas vraiment intéressé.. on peut très bien s entendre sauf que quelques fois, cela ne prend pas..
il y a un truc, indéfinissable qui fait que... l on est pas convaincu que cela puisse aller plus loin..
Intéressante ton histoire Federentieva. Le genre d'histoire qui me rendent effectivement curieux de la psychologie humaine (féminine pour être plus précis dans ce cas). Si tu veux me donner le lien, je suis preneur.
Ce sujet me fait penser à une histoire assez inhabituelle qui m'est arrivée.
J'ai retrouvé par hasard une ancienne camarade de classe après des années sans nouvelles. Nous sommes très bien entendus et, étant tous deux célibataires, je lui ai rapidement dit qu'elle me plaisait.
Elle m'a répondu que ce n'était pas réciproque. J'ai donc cru que l'histoire allait en rester là.
Mais, quelques temps après, je tombe sur son blog, qui est une sorte de journal intime. Elle y avait écrit un long texte sur moi, décrivant les circonstances de nos retrouvailles, disant qu'elle me trouvait des qualités mais que, pour une raison qu'elle ignore, je ne lui plaisais pas vraiment.
Bien évidemment, j'ai repris contact avec elle mais ça n'a pas changé grand chose.
Encore aujourd'hui, j'en reste perplexe.
Si ça intrigue quelqu'un, je peux vous donner le lien de ce texte par MP. Je serais curieux d'avoir un avis extérieur sur la question.
Après être entreprenant, ne signifie pas forcément qu'il faut sauter comme un tigre sur un cervidé mais franchement disons que ça doit être au moins plus entreprenant que les 2 autres options peut-être également étape par étape au moins (faire connaissance, rentrer petit à petit dans la vie de l'autre, se rapprocher. tisser des liens toujours plus étroits et personnels jusqu'à si ça ne saute pas aux yeux, blaguer, passer du temps ensemble, échanger les téléphones, proposer des activités, flirter si possible, si il n'y pas d'intérêt et que ça se voit, laisser tomber, sinon se dévoiler au fur et à mesure, jusqu'à 2 alternatives; construire une histoire ou passer à autre chose).
Quand la situation ne s'y prête pas, c-à-d. tout le temps dans cette société je fuis, mais il faut savoir être entreprenant quand la situation s'y prête (si on y arrive).
J'ai adoré la chanson :) Pour ce qui est de ma réponse quant à ma relation aux sentiments, j'ai généralement tendance à avoir grandement du mal à les avouer, les dévoiler à la personne au départ. Mais une fois cette première étape franchie, un long marathon s'en suit alors, plus la relation évolue et plus le lien tissé devient fort, plus j'ai tendance à être démonstrative vis à vis de l'expression de mes sentiments. Néanmoins j'ai aussi tendance à m'en méfier, car l'intensité qui s'en dégage est parfois si forte, que nos propres sentiments puissent nous paraître êtres incontrôlables. L'essence des sentiments envers une quelconque personne, je la perçois comme ayant aussi une part d'inconnu, qui dépasserai presque l'entendement, et qui irait au-delà d'une explication plus cartésienne.
Je laisse venir. Si ça doit se faire ça se fait. Si ça doit pas se faire ça se fait pas. C'est que c'était pas la bonne personne. Je ne fait rien parce que je sais que mon inconscient fait déjà à mon propre insu. Le petit salopard.
Un sujet qui a déjà été abordé quelque part, quelque temps sur ce site, me semble-t-il.
Réponse courte : je reste discret, sans fuir pour autant, mais je suis visiblement difficile à "percer" (à jour). Celà-dit, je me suis surpris à plusieurs reprises...
Avant toutes choses il faut déjà au moins considérer ces dits sentiments...
La considération et la plutôt la non-considération empêche une quelconque transformations..
Et la considération, cette considération, dans sa construction est conflictuelle..
Le refoulement est la réponse de l'intéraction de notre "moi" et de ces choses qui ne nous appartiennent pas mais nous son detinées...
Bonsoir ma Belle, comment vas-tu, que fais-tu et comment te considères-tu actuellement ? J'espère qu'un "bien, quelque chose de bien" sera une réponse unique pour des questions simples. Tes mots me manquent et je les fuis, j'ai honte.. Que ferais-tu de moi ?
Comment est-ce que j'agis lorsque que je suis confronté à l'étendue de mes sentiments ?
Je parlais de considération mais le temps l'efface, le sentiment l'emporte toujours, par leurs présences et leurs non présences.
Je ne les garde pas, jamais, je les exteriorise. Je le dit instactivement et le mieux reste à la personne concernée. La façon qu'aura cette personne d'appréhender ce ras de maré fera le reste. Extérioriser ces choses là c'est ce qu'il y a de plus simple. Elles s'incrustent moins, nourrissent moins de regrets, moins de manques, moins de déceptions et surtout moins de rêveries. C'est un réel exercice que de se mettre soi même en face de ses sentiments et de voir l'autre à ce moment là comme son reflet dans un miroir.
Pour moi la question reste la même est-ce qu'à un moment donné nous avons le choix ?
?❤️❤️?❤️❤️?Mille baisers ❤️??❤️??❤️
(le correcteur m'avait fait écrire milles baissiers... Nul doute que cela aura fait un parfait nom de jazzman)
Haha, ouais, bordel, haha .. :(
Suis à l étranger mais je trouverai un moment assurément ?
Suis dans le même cas que Bjorn et je le « bats » même en années mariage mais si je peux être utile
J'aimerais bien avoir aussi un avis féminin. Parce que j'ai raconté cette petite péripétie à plusieurs de mes amis garçons et nous sommes tous aussi perdus. Peut-être qu'une fille pourrait voir les choses d'une autre manière...
Comment pouvez-vous être sûrs que c'est mort avec une femme ? J'ai déjà été surpris de découvrir qu'une fille à laquelle je pensais plaire n'était pas intéressée (la mésaventure de Federentieva m'est arrivée au moins deux fois). Au contraire, j'ai souvent appris qu'une fille qui ne semblait pas du tout intéressée posait un tas de questions sur moi dans mon dos et n'espérait qu'une chose : que je fasse un pas vers elle.
En fin de compte, les filles sont enfermées dans une certaine passivité (il y a des exceptions, heureusement), ce qui explique peut-être qu'on croit parfois plaire à l'une d'elles alors que ce n'est pas le cas, tandis qu'on ne remarque même pas qu'on plaît à d'autres, gagnées dans ces moments-là par la timidité.
Quant à la question, je vais parler au passé car je suis avec ma femme depuis 25 ans bientôt et n'ai aucune envie de changer :)
J'étais plutôt discret sur mes sentiments, je ne déballais pas tout... Mais je ne gardais pas tout non-plus, disons que j'essayais de montrer mon attirance de façon subtile mais pas trop m'avancer sur l'étendu de mes sentiments, ça peut faire peur... Après, quand "je concluais" (comme dirait JC ^^) j'étais plus explicite sur ceux-ci.
Voilà pour la tendance générale mais comme Oryx le dit je tenais compte aussi de la fille concernée. Si je sentais une réciprocité j'étais un peu plus entreprenant que si j'étais sûr de rien ! Et si j'étais sûr que non, c'est mort, je tentais rien du tout, courageux mais pas téméraire :D
il y a un truc, indéfinissable qui fait que... l on est pas convaincu que cela puisse aller plus loin..
J'ai retrouvé par hasard une ancienne camarade de classe après des années sans nouvelles. Nous sommes très bien entendus et, étant tous deux célibataires, je lui ai rapidement dit qu'elle me plaisait.
Elle m'a répondu que ce n'était pas réciproque. J'ai donc cru que l'histoire allait en rester là.
Mais, quelques temps après, je tombe sur son blog, qui est une sorte de journal intime. Elle y avait écrit un long texte sur moi, décrivant les circonstances de nos retrouvailles, disant qu'elle me trouvait des qualités mais que, pour une raison qu'elle ignore, je ne lui plaisais pas vraiment.
Bien évidemment, j'ai repris contact avec elle mais ça n'a pas changé grand chose.
Encore aujourd'hui, j'en reste perplexe.
Si ça intrigue quelqu'un, je peux vous donner le lien de ce texte par MP. Je serais curieux d'avoir un avis extérieur sur la question.
Et pour ma part : je déballe tout.
Si nous connaissons cette personne ou si c est qqn que nous croisons de temps en temps sans échanger
Elle doit sûrement aimer nous voir parler d'amour ?
Bonne soirée à tous ^^
Un sujet qui a déjà été abordé quelque part, quelque temps sur ce site, me semble-t-il.
Réponse courte : je reste discret, sans fuir pour autant, mais je suis visiblement difficile à "percer" (à jour). Celà-dit, je me suis surpris à plusieurs reprises...
fuir si l on voit tout de suite que c est peine perdue. Le petit sixième sens..qui dit..attention « dangereux »
Sinon faire en sorte de montrer son intérêt ..bon ça c est un peu n importe quoi ?
La considération et la plutôt la non-considération empêche une quelconque transformations..
Et la considération, cette considération, dans sa construction est conflictuelle..
Le refoulement est la réponse de l'intéraction de notre "moi" et de ces choses qui ne nous appartiennent pas mais nous son detinées...
Bonsoir ma Belle, comment vas-tu, que fais-tu et comment te considères-tu actuellement ? J'espère qu'un "bien, quelque chose de bien" sera une réponse unique pour des questions simples. Tes mots me manquent et je les fuis, j'ai honte.. Que ferais-tu de moi ?
Comment est-ce que j'agis lorsque que je suis confronté à l'étendue de mes sentiments ?
Je parlais de considération mais le temps l'efface, le sentiment l'emporte toujours, par leurs présences et leurs non présences.
Je ne les garde pas, jamais, je les exteriorise. Je le dit instactivement et le mieux reste à la personne concernée. La façon qu'aura cette personne d'appréhender ce ras de maré fera le reste. Extérioriser ces choses là c'est ce qu'il y a de plus simple. Elles s'incrustent moins, nourrissent moins de regrets, moins de manques, moins de déceptions et surtout moins de rêveries. C'est un réel exercice que de se mettre soi même en face de ses sentiments et de voir l'autre à ce moment là comme son reflet dans un miroir.
Pour moi la question reste la même est-ce qu'à un moment donné nous avons le choix ?
?❤️❤️?❤️❤️?Mille baisers ❤️??❤️??❤️
(le correcteur m'avait fait écrire milles baissiers... Nul doute que cela aura fait un parfait nom de jazzman)